La guerre à la politesse est un combat sans merci est un livre graphique écrit par Gaspard de Lalune et de son vrai nom, Vincent Falgueyret. Un beau livre qui met en exergue des jeux de mots bien placés de notre époque, mélangés à une culture Pop et aux publicités du temps de la Belle Epoque. Découvrons ces jeux de mains, jeux de vilains !
C’est aux Editions Textuel que La guerre à la politesse est un combat sans merci est paru en octobre 2017.
La guerre à la politesse est un combat sans merci, et si on en discutait ?
Qu’est-ce donc ce livre graphique ?
Des publicités de la Belle Epoque avec des jeux de mots de notre époque, voici ce que l’on va découvrir dans ce beau livre. Les jeux de mots et le graphisme donnent le tempo à cet univers créatif de Gaspard de Lalune ou devrais-je dire, de Vincent Falgueyret.
A qui s’adresse-t-il ?
Il s’adresse principalement aux trentenaires. Bien entendu, les plus jeunes et les plus anciens peuvent le feuilleter mais il est vrai que l’on retrouve des jeux de mots qui rappelleront leur jeunesse.
Pourquoi faut-il le lire ?
Il est plaisant de se mettre chez soi à découvrir page par page ce que nous réserve cet artiste Dada de la Belle Epoque.
Quelle publicité va-t-il nous faire découvrir ?
- Il rédige des catalogues de vente digne de la fin du XIXème siècle : bottines ou chapeaux pour les femmes, vélos pour les hommes. Chaque modèle possède un nom très particulier. Parmi la liste des vélos, nous pourrons retrouver : Le Fignon Fixe, le Amstrong Strong…
- Il crée des affiches publicitaires mettant en exergue des répliques de film dans un élément très surprenant. Voici quelques films cités : Les Bronzés font du ski, X-Men…
- Il s’amuse à déformer les noms de marque connue ou de triturer le langage contemporain. Quelques exemples par ici : Choux Crâne ou Louis, dans quel monde vuit-on ?
Le tout est accompagné de belles illustrations et surtout d’un humour à décrocher notre mâchoire !
Quand et où le lire ?
Affalé(e) dans un bon grand fauteuil, les pieds posés sur un repose-pieds, un expresso à la main tout en étant accompagné par de nombreux rires (hautains).
Pour retrouver la photo, c’est sur Un Livre, Un Café